ART BY FRASK est né le 30 octobre 1971 en Suisse dans le canton du Tessin, il vit et travaille actuellement entre Neuchâtel et Lausanne. Il puise ses inspirations aussi bien dans la musique garage ou punk des années 60/70 que dans l’action painting ou encore l’art urbain. SPRAY AND SPLATCH IT. Il travaille au spray et au pinceau, il éclabousse ses supports toiles ou cartons récupérés au fil de ses déambulations urbaines. Entre abstractions et graphisme ces créations sont ‘rough’ et se veulent une interprétation personnelle de l’environnement métropolitain.
Découvrir son site http://artbyfrask.com« SUR FOND DE COULEURS, VISAGES, CORPS, LIGNES ET SIGNES PAPOTENT… »
Parfois au matin, on cherche les éléments d’un rêve pour le reconstituer. Ça nous revient par bribes, fragments, traces, griffures… C’est à la fois exactement ça et autre chose…ça s’invente dans une narration sans cesse interrompue…ça se dilue trop vite… les images se diffractent… un mot surgit mais le poids du discontinu déchire son sens…
Philippe Croq nous entame avec ses propositions picturales là. Y a-t-il un cherche à dire dans la composition de ces éclatements là ?
Tout semble posé mais rien n’est formulé. Un soi apparaît là où le double disparaît. Souvent ombres, traces et reflets se dessinent dans une confusion d’intérêts contradictoires. Alors, ainsi invitée la sensation visuelle de parcelles de vérités vécues nous foudroie. Yannick Lefeuvre
D’origine franco-allemande, Eva Klötgen passe son enfance dans la Sarthe, dans un milieu familial artistique, philosophique, littéraire et dans l’aventure de la restauration d’un ancien prieuré du XIe siècle, qui devient un lieu vivant de rencontres et d’échanges interculturels. Patrimoine, histoire, art et culture ont donc fortement influencé le parcours et la personnalité d’Eva. Après des études de philosophie à Paris, elle suit une formation en reliure d’art aux Arts Déco.
Cette artiste autodidacte, montre son travail depuis le début des années 2000 et a reçu plusieurs distinctions. Poésie, philosophie, théologie et musique sont ses chemins d’inspiration à partir desquels elle orchestre dans sa peinture un cri fondamentalement existentiel. Entre intrépidité, sûreté de son intuition et de sa vision de l’espace, et le doute dû à son obsession de la perfection, elle lance « Il n’y a pas d’oeuvre achevée ».
En 2007, elle suit une formation sur la Technique du vitrail, dans les ateliers Puzin et C. Zidi à Paris, puis à partir de 2012, elle réalise des créations de vitraux avec le verrier Eric Boucher (Seiche-sur-Loire).
Peinture, tapisserie, création de vitraux contemporains, cravates originales en soie, l’univers créatif de Eva Klötgen n’hésite pas à dépasser les frontières académiques. Eva propose des pièces uniques de tapisserie de grand format, d’une grande qualité technique (pure laine de l’Himalaya, 100.000 noeuds/m2) qui sont des transpositions de ses peintures.
Privilégiant les grands formats, la peinture d’Eva Klötgen déborde de poésie, d’onirisme, de spiritualité et nous invite à percevoir le monde invisible. Le bleu domine dans sa palette chatoyante où les couleurs se fondent, se juxtaposent et éclatent ensemble sur ses toiles dans une puissance expressive.
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Barbara Morin est une peintre chercheuse d’âmes qui parle à nos coeurs. L’artiste vit à Annecy. Ses origines germano-françaises lui donnent la richesse d’une double culture. Créatrice depuis l’enfance, Barbara dévoile dans ses oeuvres un monde où l’énergie est palpable, la sensibilité délicate précise presque intrusive. L’artiste peint avec des influences multiples mais sans relier les contours de ses toiles à un style défini. Son sujet c’est l’humain; des personnages ou séries de portraits déclinés autour de différents thémes: l’Enfance, les Origines, les Princes et les Princesses…des Personnages d’ici ou d’ailleurs…Ses personnages se révèlent dans une mise en scène entre l’errance et le rêve, dans une atmosphère surréaliste et singulière. Ils regardent souvent le spectateur, parfois de face, souvent en retrait. Leur présence semble bien antérieure, leurs chemins nous parlent. Il y a des bouches qui veulent rire, des souffrances qui voudraient sourire, des histoires humaines, des rêves d’enfance. L’enfance vit dans tous ses personnages, dans les animaux, dans les instruments de musique, dans les objets dans les attributs. L’enfance devient la matière, la couleur, l’expression des oeuvres. ……… Plus sur son Site Internet
Série L’Aveuglement – Concept métaphysique
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Bernard Baud est né en 1964 dans les Alpes françaises, il est formé au métier de ferronnier d’art mais c’est en travaillant pendant plus de 20 ans à Drouot (Paris) qu’il découvre la diversité artistique, de l’art contemporain à l’art africain, du pré-colombien aux icones russes, des arts décoratifs aux arts appliqués (qu’il préfère), il comprend alors que tout est possible….Dans l’univers coloré et ultra structuré de Bernard Baud tout est possible ; ses personnages imaginés nous regardent, neutres, ronds, sans jugements, sans préjugés, ils s’adonnent au golf, à la pêche ou déjeunent encore tranquillement entourés d’un repas frugal, dans un espace infini de planètes, d’abeilles, de coccinelles ou de ‘Lucky’, son animal Totem. Un mélange de légèreté et de complexité.
Mardi 3 juillet – 11h41 – Paris Gare de Lyon : Une voix féminine résonne dans le haut-parleur : « Attention à la fermeture des portes… » Installée dans ce TGV bondé, assise près de la fenêtre, le casque sur les oreilles avec ma précieuse playlist, je regarde les paysages défilés devant mes yeux pétillants.
Direction : Arles !
Suite de l’article sur Karine Paoli Hug Me à la NdF Gallery, Arles
Gilliane Warzée est née le 19 décembre 1977 en Belgique. Elle termine ses études d’infirmière graduée en 1999 et travaille dans un service d’urgences au Grand-Duché de Luxembourg. Diplômée de l’Institut des Beaux-Arts d’Arlon, Belgique, dont elle suit les cours de peinture de septembre 2006 à juin 2009. Gilliane se passionne de manière soudaine pour la peinture à l’âge de 28 ans. Elle débute par l’acrylique, puis se tourne rapidement vers la peinture à l’huile, dont elle apprécie les techniques de travail, particulièrement l’utilisation du couteau dont les effets et le relief permettent d’augmenter la matière de ses oeuvres. Très inspirée par les jeux de couleurs et leur intensité, attirée par la matière et la lumière, la peinture lui ouvre de nouvelles perspectives. Les principaux thèmes abordés sont les visages et leurs expressions, les animaux sauvages. Elle réalise actuellement une série de portraits féminins, en explorant l’infinité de possibilités de traitement esthétique et émotionnel qu’ils offrent. Le travail au couteau et les couleurs vives qu’elle utilise transmettent une énergie à ses portraits. Site Internet
« PHANTASME » Roman Koenig
Exposition du vendredi 6 au mardi 17 avril 2018
Du mardi au samedi de 12:00 à 20:00 et sur rendez-vous.
L’oeuvre de Natacha Couvelaire très inspirée par l’Asie et l’Orient, est profonde, puissante et délicate, foisonnante et subtile, kaléidoscope infini dans lequel on s’immerge. Chacun peut entrer en résonance comme un ballet intérieur, éventuel écho à son histoire personnelle. Faire naître l’émotion chez l’autre, le happer pour un voyage initiatique envoûtant, tel est le souhait de Natacha, une artiste secrète qui devrait faire évoluer les codes de l’art. ©NatachaCouvelaireLiss-248X120 – Pièce Unique.
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Amateure exploratrice et autodidacte persévérante, je pratique une photographie inspirée par le dessin et la peinture. J’expérimente beaucoup et je m’efforce de créer chaque série autour d’un langage photographique particulier et unique : J’ai transformé le Bowl, un skate park de Marseille, et ses riders en graffitis dans ma série PhotoGRAFFismes, rendue intemporelle une Venise de 2017 dans celle Avant que l’eau des banquises… et je travaille à démultiplier le temps et la lumière dans Lux Temporis. Site Internet
Séchoirs à tabac
J’ai toujours adoré depuis l’enfance ces hautes granges, noires, austères et majestueuses et c’est avec une naïve déception que j’ai appris un jour qu’elles avaient une fonction. Je ne sais pas vraiment à quoi j’attribuais leur présence mais j’aimais déjà beaucoup leur plastique. Ces grands volumes noirs qui se dressent dans la verdure, donnait le contraste visuel le plus fort qui pouvait exister dans le paysage m’environnant.Faites dessiner une maison à un enfant âgé de 5 ans, il y a plus de chance que la forme ressemble à un séchoir à tabac qu’à une batisse girondine. Le séchoir à tabac comme un dessin d’enfant a le toit pentu, les murs hauts,la porte surdimensionnée et peu de fenètres.Pour moi le séchoir à tabac contient la forme symbolique de la maison, au même titre que les meules de foin de Monet contiennent la forme symbolique de la hutte primitive. Site Internet
« Choisir le papier, le couper, le plier, l’agencer en un cahier géant qui oblige à une gestuelle de danseur. La main, le poignet ne suffisent pas, il faut engager le bras, le buste, la colonne, le bassin… Le rythme des coupelles, que Marie Christine prends, pose déplace, le pinceau qui frotte, tapote, racle, repasse… Les mouvements cadencent, dessinent une intention sonore, sur laquelle la dessinatrice se cale instinctivement pour danser sur sa propre musique. Une musique qui expose le lien qui se tend entre l’artiste et le modèle, une musique du geste, du travail : prendre, saisir à distance, chaque outil a sa tessiture, chaque intention se traduit par un impact sonore : délimiter, caresser, inciser, coucher, replier, laver, tracer, remplir, gratter, coller…dessiner »
Denys CHOMEL, Cofondateur de l’Ecole des Hautes Etudes en Technologies de l’Information et de la Communication – Montreuil-Paris
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