Série L’Aveuglement – Concept métaphysique
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Mardi 3 juillet – 11h41 – Paris Gare de Lyon : Une voix féminine résonne dans le haut-parleur : « Attention à la fermeture des portes… » Installée dans ce TGV bondé, assise près de la fenêtre, le casque sur les oreilles avec ma précieuse playlist, je regarde les paysages défilés devant mes yeux pétillants.
Direction : Arles !
Suite de l’article sur Karine Paoli Hug Me à la NdF Gallery, Arles
Gilliane Warzée est née le 19 décembre 1977 en Belgique. Elle termine ses études d’infirmière graduée en 1999 et travaille dans un service d’urgences au Grand-Duché de Luxembourg. Diplômée de l’Institut des Beaux-Arts d’Arlon, Belgique, dont elle suit les cours de peinture de septembre 2006 à juin 2009. Gilliane se passionne de manière soudaine pour la peinture à l’âge de 28 ans. Elle débute par l’acrylique, puis se tourne rapidement vers la peinture à l’huile, dont elle apprécie les techniques de travail, particulièrement l’utilisation du couteau dont les effets et le relief permettent d’augmenter la matière de ses oeuvres. Très inspirée par les jeux de couleurs et leur intensité, attirée par la matière et la lumière, la peinture lui ouvre de nouvelles perspectives. Les principaux thèmes abordés sont les visages et leurs expressions, les animaux sauvages. Elle réalise actuellement une série de portraits féminins, en explorant l’infinité de possibilités de traitement esthétique et émotionnel qu’ils offrent. Le travail au couteau et les couleurs vives qu’elle utilise transmettent une énergie à ses portraits. Site Internet
Amateure exploratrice et autodidacte persévérante, je pratique une photographie inspirée par le dessin et la peinture. J’expérimente beaucoup et je m’efforce de créer chaque série autour d’un langage photographique particulier et unique : J’ai transformé le Bowl, un skate park de Marseille, et ses riders en graffitis dans ma série PhotoGRAFFismes, rendue intemporelle une Venise de 2017 dans celle Avant que l’eau des banquises… et je travaille à démultiplier le temps et la lumière dans Lux Temporis. Site Internet
« Choisir le papier, le couper, le plier, l’agencer en un cahier géant qui oblige à une gestuelle de danseur. La main, le poignet ne suffisent pas, il faut engager le bras, le buste, la colonne, le bassin… Le rythme des coupelles, que Marie Christine prends, pose déplace, le pinceau qui frotte, tapote, racle, repasse… Les mouvements cadencent, dessinent une intention sonore, sur laquelle la dessinatrice se cale instinctivement pour danser sur sa propre musique. Une musique qui expose le lien qui se tend entre l’artiste et le modèle, une musique du geste, du travail : prendre, saisir à distance, chaque outil a sa tessiture, chaque intention se traduit par un impact sonore : délimiter, caresser, inciser, coucher, replier, laver, tracer, remplir, gratter, coller…dessiner »
Denys CHOMEL, Cofondateur de l’Ecole des Hautes Etudes en Technologies de l’Information et de la Communication – Montreuil-Paris
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Chris Calvet est un artiste plasticien Français né en 1979. Très tôt passionné par la création artistique. La nature et les éléments (matières, lumières, couleurs, formes…) lui ont donné le goût de la découverte et de l’aventure, cette ouverture d’esprit sur le monde définit son travail actuel. Découverte de l’artisanat d’art chez son amie de toujours Lyseth, ensemble ils rencontrent Hassan Massoudy et collaborent à la réalisation de gravures sur plaque, et ce, dès l’âge de 19 ans. L’aventure, lors de grands voyages en Chine notamment, lui ouvrent des perspectives vers ce qui aujourd’hui est une évidence, la calligraphie. Remarqué par Starter Gallery, il aura l’opportunité en 2015 de passer plusieurs semaines en résidence dans un des musées le plus important de Chengdu (ville de 14 million d’habitants) d’exposer dans trois musées de Chengdu et éprouver sa technique auprès de grands artistes internationaux comme XuLiaoyuan, Qiu Guangping… Toujours ouvert sur le monde, son approche est simple, le travail quotidien permet l’apprentissage et la maîtrise du geste, ce qu’il travaille d’arrache pied avec son professeur Alexandra Laneve. C’est ainsi qu’est née la série «Signe» qui lui vaut aujourd’hui une reconnaissance internationale. Site Internet
The PioneerHow the west was won … Making of (Eva Viallon)
Publiée par Gilles de Beauchêne Fine Art sur mardi 6 février 2018
Voir le ‘making of’
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